Mythes sur le interim management; vrai ou faux?

BrainTower est une valeur sûre dans le monde du conseil, de l’intérim et de la gestion de projets. Surtout dans l’environnement marketing et commercial.

Il est vital pour nous de placer les bonnes personnes au bon endroit. Et pour ce faire, nous voulons bien connaître nos gens, mais aussi nos clients et leur organisation. Les gens et les organisations sont notre vraie affaire. Même si nous nous en faisons un devoir, il y a quand même des malentendus au sujet d’ interim management, par exemple sur la procédure de matching entre l’équipe/organisation et le consultant.

Ci-dessous, nous parlons de quelques croyances populaires sur la consultation, la gestion intérimaire et la gestion de projet. Avec 17 ans d’expérience dans l’entreprise, notre fondateur Jan De Lancker les réfutera ou les confirmera avec quelques précisions supplémentaires.

1. Les interim managers ont besoin d’être coachés.

Chaque fois qu’un nouveau membre se joint à notre équipe, sur une base temporaire, nous devons l’entraîner. Si nous accueillons quelqu’un dans notre équipe pour seulement 3 à 6 mois, nous avons besoin de temps pour le coacher et l’effort sera aussi grand que le travail que cette personne peut faire.

« Ce n’est pas vrai. Nous ne travaillons qu’avec des personnes qui ont de nombreuses années d’expérience ou qui sont vraiment motivées et très désireuses d’apprendre. Tout le monde ne peut pas rejoindre BrainTower aussi facilement. Nous représentons des personnes très talentueuses qui ont la bonne mentalité et la bonne motivation pour faire du interim management. Si l’un des nôtres rejoint votre équipe, oui, vous devrez expliquer votre façon de travailler, car elle est différente dans chaque organisation. Mais nos gens sont des gens d’action et ont suffisamment de connaissances en affaires pour se concentrer sur les bonnes tâches. Ils ont la mentalité du possible et, à ce titre, ils poseront des questions au besoin, mais s’engageront rapidement à avancer et à garantir la continuité ou à gérer les priorités. Ils sont indépendants et apprennent vite. Donc le coaching ne sera pas du tout un problème ! »

2. Les consultants sont souvent surqualifiés.

Nous craignons que si nous embauchons quelqu’un de BrainTower, cette personne pourrait être surqualifiée.

« C’est d’ailleurs très souvent le cas!  Mais ce n’est qu’un avantage, pas un problème. BrainTower propose des honoraires fixes pour des travaux spécifiques, indépendants du nombre d’années d’expérience du consultant.  Parfois, nos consultants sont embauchés pour un travail  » moindre  » et ils sont d’accord avec cela. Parce qu’ils veulent mettre toute leur expérience sur la table et qu’ils savent qu’ils trouveront toujours un défi. Ils essaieront d’apporter des changements pour le mieux dans votre organisation parce qu’ils savent de quoi ils parlent. Ils trouveront de nouvelles idées, ils entraîneront sans qu’on leur demande….. Et ils sont opérationnels en un rien de temps. Ils apporteront une valeur ajoutée et une créativité évidentes. Embaucher des personnes surqualifiées n’a pas de conséquences négatives. »

3. Notre équipe peut considerer les consultants comme une menace

Nous pensons que lorsque nous invitons un consultant dans notre équipe, cette personne sera une menace pour les autres membres de l’équipe en raison de son expérience. Nous ne pouvons pas faire cela à nos collègues…

« Les consultants ne seront jamais une vraie menace pour votre équipe. Ils ont choisi d’être consultants pour une raison claire : ils ont besoin de changement. Ce sont des gens qui ne veulent pas travailler plusieurs années dans une organisation. Ils ont des objectifs totalement différents. Ils ne doivent donc pas être considérés comme une menace, mais plutôt comme un renforcement temporaire avec une vision nouvelle, fraîche et non biaisée de votre entreprise, de votre produit ou de votre approche. Les gens qui sont de véritables employés d’une organisation peuvent se voir comme des concurrents, mais jamais le consultant. Il ou elle est là temporairement et n’a d’autre but que de partager son expérience, de terminer le projet à temps avec les meilleurs résultats, d’ajouter de la valeur à l’organisation et par la suite, d’aller chercher un autre défi. »

4. Les consultants ne correspondent pas à la culture de l’entreprise

Comment pouvez-vous savoir après une – peut-être deux – conversations que la personne que vous avez présentée pour une offre d’emploi spécifique en tant que consultant/intermédiaire/responsable de projet, peut être un vrai partenaire ? Un match avec l’équipe et surtout avec la culture d’entreprise ?

« C’est là que nos années d’expérience sont vraiment importantes. Nous – Caroline Vervaeke, Gerrit De Backer et moi-même – sommes ceux qui recherchons des profils correspondant à la demande de l’entreprise et de l’entreprise elle-même. C’est notre véritable métier, nos collaborateurs et nos clients. J’ai déjà dit que vous ne pouvez pas rejoindre BrainTower si facilement. Non, nous nous rencontrons d’abord quelques fois et nous nous faisons un point d’honneur de connaître nos consultants. Quel genre de personnes ils sont, dans quel genre d’entreprise ils peuvent prospérer, avec quel genre de personnes ils peuvent travailler ensemble. Peuvent-ils travailler dans une entreprise hiérarchique ? Ont-ils besoin de descriptions de travail claires ou aiment-ils déterminer eux-mêmes où ils peuvent avoir le plus d’impact ? Tout le monde est différent. Comme toutes les entreprises. Au fil des années, nous avons appris à connaître nos clients et bien sûr aussi les entreprises. Nous aimons maintenir un contact étroit avec nos consultants pour apprendre à les connaître non seulement eux, mais aussi le lieu où ils travaillent. Cette focalisation sur l’adéquation entre le consultant et les clients se traduit par une grande fidélité de nos consultants freelance envers nous, BrainTower. »

« Lorsque nous recevons une éventuelle mission d’un nouveau client, nous rejoignons toujours notre consultant lorsqu’il/elle se rend pour la première fois à une réunion de présentation. De cette façon, nous pouvons voir le nouveau client,  » sentir  » l’environnement, et surtout, nous pouvons commencer une coopération d’une manière vraiment humaine et sympathique. Nous voulons toujours montrer que nous nous soucions à la fois de nos clients et de nos consultants, et pour nous, c’est la seule façon correcte de commencer à travailler ensemble. Et bien sûr, plus tard, nous restons en contact avec notre client pour suivre la mission, connaître les résultats et l’évolution de la mission, pour pouvoir penser en véritables partenaires. »

5. Les forces temporaires coûtent cher

Un enjeu majeur… Prix. Les consultants / managers intérimaires / chefs de projet ne sont-ils pas extrêmement coûteux?

« Ils ne sont pas bon marché, c’est sûr. Mais vous devriez tout voir en perspective. La plupart du temps, notre personnel est nécessaire pour assurer la continuité d’une entreprise. Si vous ne pouvez pas avoir de continuité, cela vous coûtera aussi beaucoup d’argent qu’ils auraient pu gagner s’ils avaient eu quelqu’un pour combler ce poste vacant. Et aussi, ils apportent un vent nouveau et de la créativité. Ils n’ont pas peur de s’exprimer et de suggérer des changements ou de suggérer de repenser quelque chose. Vous obtiendrez peut-être plus de leur présence qu’une place qui est en train d’être comblée. Autre remarque : certaines entreprises comparent la rémunération mensuelle à un salaire brut, ce qui n’est évidemment pas correct. Il faut tenir compte de tous les autres coûts d’un employé : sécurité sociale, vacances, ancienneté, maladie, équipement,…. Donc oui, nos employés sont plus chers à court terme, mais à long terme, ça paie certainement ! »

 


Écrit par Peggy Storme – Junior Marketing Consultant

Parlons de la façon dont un interim manager pourrait vous aider à améliorer votre entreprise !